Chaque année, la France enregistre un déficit de jeunes ingénieurs diplômés qui s’élève à plus de 5 000. “Nous manquons d’ingénieurs en France, qui sont des sources d’innovation”, explique Jacques Fayolle, directeur de Télécom Saint-Étienne et président de la CDEFI.
Face à ce constat, pour le moins alarmant, la CDEFI a élaboré trois axes d’action, qui seront présentés en vue de l’élection présidentielle de 2022.
Axe n°1 : augmenter le nombre de jeunes souhaitant devenir ingénieurs scientifiques
Axe n°2 : augmenter les moyens des écoles d’ingénieurs
Axe n°3 : renforcer l’implication des écoles d’ingénieurs dans la recherche et l’innovation
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